Si on en croit la légende, la plante proviendrait en fait de la poussière d’or soulevée par le char du soleil, lors de son passage sur terre :
une allusion à la belle couleur dorée de ses fleurs, que nous connaissons tous.
Des fleurs, d’ailleurs, qu’utilisaient les jeunes filles célibataires pour savoir si elles avaient une chance de se marier dans l’année.
Le pissenlit est une des meilleures plantes drainantes, parmi celles agissant au niveau des reins, et donc diurétique et au niveau du foie, en augmentant la sécrétion de bile, on la dit cholérétique.
Le volume de bile excreté est ainsi, grâce au pissenlit, multiplié par 4.
C’est donc une indication incontournable et efficace pour les foies surchargés, l’insuffisance hépatique, comme la fatigue que la maladie entraîne.
Rien de tel qu’une cure de pissenlit au printemps pour nettoyer un organisme fatigué par un hiver long et froid et surtout sa nourriture trop grasse et trop riche, dont il faut désormais éliminer les effets avant d’aborder l’été.
Les fleurs sont utilisées aussi dans de nombreuses préparations cosmétiques. On peut aussi consommer le pissenlit en salade.
On peut alors lui associer de jeunes feuilles d’ortie et de plantain. En soupe, avec les mêmes composants: deux préparations qui gardent intactes les vertus de la plante et donc ses bienfaits. A une condition : n’ajouter les feuilles d’ortie, qu’en fin de cuisson de la soupe.
Le plus simple prendre la forme Suspension intégrale de plante fraîche où l’on retrouve toutes les propriétés de la plante fraîche. on en prendra en cure d’une à deux semaines sur conseil médical, 1 cuillérée à café matin et soir.
[…] généraliste, ostéopathe, homéopathe, le Docteur Jacques Labescat exerce comme spécialiste en phytothérapie depuis plus de 30 ans. Dans cet ouvrage, il nous fait […]